Mon rêve
Signification de vos Rêves au jour le jour ! Racontez, Louise-Frédérique répond. Au plaisir,
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Mon rêve
Message par cadavre exquis » 12 déc. 2008 20:21
Bonjour chère Louise. Voilà donc le premier rêve que je vais vous demander d'interprêter. Il est tres long et riche et de plus il m'a tellement marqué que je l'ai écris dans mon carnet de rêve sous le coup de l'émotion.Je ne l'ai pas écris au présent et j'ai préféré vous le montrer tel -quel pour ne rien déaturé. J'espère que vous excuserez les images violentes et crues mais j'ai essayé de retranscrir au mieux ce que j'ai rêvé.
"J'étais dans un ascenseur avec ma meilleure pôte Clémence et une ex que je n'avais pas vue depuis dix ans : Amélie. On était fatigués mais aussi grisés, par l'alcool et autres drogues qu'on avait consommées. On quittait une mémorable fête et j'étais content de revoir Amélie après toutes ces années. Clémence et elle me chauffaient dans l'ascenseur. J'avoue avoir été particulièrement intéressé par les avances d'Amélie. Deux minutes plus tard, alors qu'elle m'embrassait langoureusement, quelque chose d'aussi inattendu qu'étrange se passa: En deux deux, je me retrouvai attaché à un genre de table verticale, fixée le long d'un poteau lui même muni de roulettes. Le tout ressemblait à un totem voué au culte d'un dieu païen sado-masochiste. Une ceinture de métal me tenait fixé à la table. Clémence et Amélie rigollaient, dansaient, s'apostrophaient gaiement. Une lueur maligne et belle à la fois brûlait dans le regard de Clémence.
-Tu fais moins le malin mon gros mignon!
-Alors, on draguait ma copine ?
-Tu sais ce qu'on va te faire couillon? Te couper les coucougnettes!
Elles éclatèrent de rire en coeur.
La porte de l'ascenseur s'ouvrit sur un couloir et mes deux ravisseuses me déplacèrent verticalement comme si j'étais un meuble. Elles me touchaient, me provoquaient, et se marraient. Moi, attaché à mon totem, je ne comprenais pas tout. Elles se foutent de moi! Sympa la blague!
Finalement, on arriva dans une grande salle, genre morgue et elles me poussèrent au centre sous une grosse lampe comme il y en a dans des salles d'autopsie. Grâce à un levier, elles me mirent en position horizontale. Le meuble devint un billard.
-Alors,- dit Clémence,- comment voudrais tu qu'on t'émascule?
-Moi je pensais à un sécateur, vu la taille du machin!- Dis-je, content de ma vanne.
- T’as raison, une bite, c'est comme une grosse branche!
-Allez!- Dis-je, -arrêtez vos conneries, de toute façon elle sera bien plus molle si vous me la coupez. Si vous m’suciez plutôt (J'étais bourré)
-Ta gueule !
Amélie attrapa ma queue à deux mains.
-« Moi je parie qu'elle restera bien droite!
-Mais non, c'est impossible, -Clémence attrapa à son tour ma bite et la mania sans ménagement, -physiquement impossible «.
Elles m'éxitaient grave. Elles avaient toute les deux leurs mains sur ma bite tout en ayant un débat sur la rigidité de mon membre.
-Tu veux parier!
-Réfléchis, tout le sang (là), se viderait progressivement jusqu'à qu'il n'y en ait plus. Si tu coupes cette bite, elle ressemblera plus à une capote usagée qu'à un godemiché ma chérie!- Elles éclatèrent de rire.
La lumière, la situation, le fait d'être attaché et à la merci de deux jeunes filles armées me plaisait. J'étais sur un petit nuage.- Eh! tu veux m'sucer chérie?-
La vue du sécateur me fit néanmoins tiquer mais rajouta finalement encore un peu plus au fantasme sado-maso. Amélie plaça les deux lames coupantes de part et d'autre de ma bite.- EH! Doucement là!
-T'inquiète! Moi je suis l'assistante, je ne te ferai pas mal!- Elle gratifia le bout de mon gland d'un adorable et langoureux petit bisou.- Clémence, en revanche est ton bourreau. Si mademoiselle veut bien se donner la peine!- Elle avait pris des airs d'hôtesse accueillant une personne très importante.
- Bien naturellement!- Assura Clémence. Elle saisit les deux manches du sécateur à deux mains. Amélie, fit la révérence et recula. Je regardais avec fascination ma queue, belle, droite et gonflée au milieu de ces deux impressionnantes lames, capables de couper net n'importe quelle branche d'arbre avec une facilité déconcertante. Clémence, à l'autre bout du sécateur avait adopté une positon de tenniswoman, qui s'apprête à faire un revers.- Bon! les filles, je dois vous avouer un truc...- Clémence donna soudainement un grand coup et me coupa net mon membre. Je ne ressentis pas spécialement de douleur mais plutôt l'effet que peut produire une chute vertigineuse, comme un grand vol plané après un accident. J'attendais la chute mais elle ne venait pas.
-AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAhH!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Putain les salopes! les salopes! les salopes! les salopes!!!!!
-regarde! J'avais raison, elle est toujours raide!
-Incroyable!
Je ne voulais pas regarder mais je ne pouvais pas m'en empêcher. Amélie tenait mon (ex) bite dans sa main, raide comme un bâton. Clémence n'en revenait pas.
-Par quelle magie!
-HI! HI! HI! HI!
Des flots de sang giclaient par saccades du trou noir laissé par l'amputation. Pour rajouter à la folie de la scène, Amélie cola sa bouche sur la plaie béante et aspira, souffla dedans comme une folle.
-Ha! Mais quelle belle chatte vous avez là mademoiselle!
-Salopes ! salopes ! salopes !
Clémence jouait avec son nouveau gode macabre. Elle me le mettait juste sous le nez puis dans ma bouche.-"Suce!" J'étais à deux doigts de tourner de l'oeil mais la haine que j'éprouvais à l'égard de ces deux putains de sorcières me dopait. -Salopes! Salopes! Vous me le paierez salopes!
-Ta gueule!- Me dirent les deux parfaitement en coeur. ça les fit rigoler. J'avais les yeux inondés de larmes. Mon regard incrédule passait sans cesse de mon moignon à mes deux bourreaux.
- Clémence, pourquoi t'as fait ça, t'étais mon amie!!- Elle me lança un regard noir.
- Tu me laisses pas le choix, je vais te couper la langue, ça t'évitera de dire des conneries espèce de petit con. -Elle avait un air dédaigneux et sa voix était rauque.- Ciseaux!-elle avait hurlé. Cette fille est folle à lier. Amélie s'exécuta et lui passa les ciseaux. Elle était devenue assistante du chirurgien.
-Tiens moi ça- dit Clémence. Amélie tenait ma pauvre langue entre ses doigts. Elle se débattait furieusement si bien qu'elle dut s'y reprendre à trois fois. Je fulminais et les insultais mais je savais que quoi qu'il arrive, je ne m'en sortirai pas. Je voyais dans leurs yeux fous une détermination et un sadisme absolu. J'étais résigné à crever. Le plus rapidement de préférence.
-Là!
-Tiens la bien...
-Et... avec ceci ?
-Merci très chère, ce sera tout !
Ces vieilles sorcières étaient aux anges! Elles chantaient presque!
Et clac ! Ma langue se rétracta par réflexe, si bien que juste un petit bout vola pour atterrir, frétillant, sur ma poitrine.
- *ain ! é'è'eu 'eu a'o'e !!.... 'ain ! (.....) hu'ch !............. 'ain !!
-Au moins on ne comprend plus ce qu'il dit. C'est qu'il était blessant le p'tit con!
J'étais terrorisé, humilié et j'avais en même temps une irrépressible envie de sauter hors de mon billard pour étrangler ces salopes de sorcières. Mais j'étais trop solidement attaché, je ne pouvais à peine bouger la tête et ma bite et ma langue venaient d'être excisées. Il ne pouvait plus rien m'arriver de pire.
-Bon! tu sais ce qu'on va te faire maintenant?- Amélie me chuchotait à l'oreille. Elle me cachait la vue Horrible de mon corps en sang. De toute façon je ne voulais plus rien voir. J'aurai voulu être très loin de cette horrible réalité et de ces deux folles à lier.
-On va t'éclater les coucougnettes,- me chuchota Amélie. Ces mots résonnèrent dans ma tête comme un gong indien. Derrière, Clémence, que je ne voyais pas semblait occupée à fouiller dans une caisse à outils. Elle sembla soudain avoir trouvé ce qu'elle cherchait et eut un rire sadique qui me donna la chair de poule.
-é_cla_ter _ les_cou_cou_gnettes ! .... avec ....Un joli fer à repasser de la marque Eclatkoukou ! Clémence faisait la présentation du produit:
-Fonction vapeur, léger, maniable. -Elle plaça une petite plaque de fer sous mes couilles qui, sans la bite au dessus, ressemblaient à une gorge de dindon. Surtout qu'elles étaient rouges de sang. Clémence eut un geste de bas en haut, comme quand on s'apprête à planter un clou et resta en suspens le bras en l'air, me fixant dans les yeux. Elle me sondait froidement. Je ne parvenais pas à soutenir son regard tant pour moi il était si loin et incompatible avec la Clémence que je connaissais ou croyais connaître. Je me répétais en boucle: "c'est pas vrai, c'est pas vrai, c'est pas vrai, pas vrai,". Je devais faire très pitié car Amélie caressa mon visage et me dit pour me rassurer:" T'inquiète pas mon chou, quand tu les auras plus, tu ne sentiras plus la douleur" Je tentai de lui dire: "pourquoi vous faites ça?" mais ne parvins qu'à dire:" ou'ah ou' hé'ah " Clémence, le bras toujours en l'air commença un décompte
-Dix...neuf...huit..."
Je serrai les dents de toute mes forces. Une idée désespérée naissait en moi. Si je hurlais à m'en pêter les cordes vocales, j'arriverai à détourner la douleur.
-Sept...Six...Cinq...
-aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa...
-Quatre...Trois...Deux,Un...
-C’est pas possible, c’est un cauchemar
-Un et demi.....Un et trois quart.....
-J’arrive pas à croire qu’elle va faire ça,
-10!
-AA...ARGL...AA...GNNNNN..ARGHL...
-Elle abattit son bras d'un coup avec le fer au bout et termina son geste pile sur mes deux couilles. La douleur fut foudroyante, inconcevable. Tout mon corps était pris de tremblements incontrôlables, je toussais, m'étranglais et j'avais le coeur qui dégringolait à mille à l'heure. Je n'arrivais plus du tout à reprendre mon souffle et plus j'essayais, plus je perdais le contrôle. Et ces sales sorcières qui rigollaient de mon sort. Quand la pression commença à redescendre, Amélie m'effleura juste du bout de l'ongle ma blessure et je me remis à gémir, tousser, éructer. Je grognais comme un porc fit remarquer à juste titre Amélie.
-Regarde!-Dit Clémence- Incroyable, elles n'ont pas éclaté!
-Ouaip, par contre elles ont triplé de volume, regarde! Recommence!
-Attend j'ai une meilleure idée.
J'aurai donné mon âme au diable pour mourir dans l'instant. La seule chose qui m'occupait l'esprit, était de trouver un moyen pour signifier à mes bourreaux que je les méprisais. C'était une faible consolation mais ça me permettait d'avoir l'illusion de garder un peu de fierté. J’aurai voulu ne pas crier, ne plus manifester ma douleur. Rien de pire pour un bourreau que de s'apercevoir que ses tortures n'ont pas d'effet sur sa victime. Dans mon raisonnement de feindre l'indifférence à la douleur, je me mis à chanter des chansons paillardes. La scène que nous offrions aurait été classée absurde si il n'y avait pas eu tout ce sang autours de mon corps, ces deux infermières toquées et tout ces petits bouts de moi assaisonnés tout autours. Ma langue mutilée rendait mes bavassements incompréhensibles. J'étais entre la dérision et la mort, si bien que je ne remarquai pas que Clémence avait mis le fer à chauffer à la puissance maximale. Au moment où je compris, un courrant glacial me parcourut l'intérieur des jambes. Elle le magnait comme une arme, faisant sortir à grand jets la vapeur brûlante. Je continuai mon plan désespéré pour qu'au moins ces deux putes ne jouissent plus de me voir souffrir et hurler. Les accords qui sortaient de ma bouche en sang avaient la tonalité et la couleur de l'enfer. On aurait dit un chant satanique interprété par une chèvre en chaleur. Quand Clémence appliqua conciensieusement le fer à repasser chauffé à blanc sur ce qui me restait de testicules, je ne sentis aucune douleur, mais le bruit et l'odeur que produisirent mes couilles en cuisant me surprit tant c'était, comment dire ? « Inattendu » est le mot juste. Quand mes couilles éclatèrent, sous l'effet de la chaleur, je le sentis très lucidement mais j’avais l’impression de voir la scène de l’extérieur. En outre, je chantais sur un ton pathétique No-noman-no-cry. J'étais anormalement très détendu et détaché de mon corps et fus simplement étonné quand je sentis nettement une espèce de relâchement alors que le liquide jaunâtre gicla des deux coquilles vides. J'étais grisé par ces nouvelles sensations inconnues et par la force incroyable que dégageait toute cette sauvagerie. Mon corps était bourré d'endorphine. Je chantais la marseillaise en bavant, les yeux presque retournés en arrière ce qui sembla faire son petit effet sur les deux putes. Elles étaient atterrées que je n'aie ni hurlé, ni pleuré lors du spectaculaire supplice du fer à repasser. Je rigolais même et de bon cœur, sur un ton sinistre et forcé et me rendis compte avec amusement que ma voix était devenue perceptiblement plus aigue que quand j'étais normalement constitué. J'étais gaga. L'impression d'avoir été shooté à mort. Visiblement énervée par mon attitude désinvolte, Amélie me sauta dessus, attrapa ma langue et, d'un coup de ciseaux net et précis, me coupa net ce qui m'en restait. Une vive douleur traversa ma moelle épinière. Je tentai de hurler mais ne réussis qu'a m'étrangler lamentablement. Du sang pissait de ma bouche abondamment. Je m'évanouis.
Un temps que je ne saurai estimer plus tard, je me réveillai avec l' impression qu'un troupeau de vaches m'avait piétiné. Puis tout me revint en tête. Ce n'était pas un rêve. Mon cerveau fonctionnait à cent pour cent . Ca m'étonna. On m'avait recouvert le corps avec un drap blanc. Mon pouls fût il si faible qu'elles me crûssent mort. Je voyais néanmoins des silhouettes qui s'agitaient dans la lumière de l'imposante lampe d'autopsie. Clémence était assise à droite, Amélie était de dos. Quelque chose provoqua en moi un regain de vitalité, d'espoir, il y avait une troisième personne! Malgré mon état cireux, mes sens se mirent en alerte. Je compris que cet homme, quelqu'il fût, constituait ma meilleure chance de me faire découvrir. Non pas que je m'imaginais m'en sortir mais je voulais que ces deux sorcières payent.
-tu aurais du me prévenir que tu venais ce soir- dit l'homme- j'ai bien crû que l'on se faisait cambrioler.
ésolé m'sieur- dit Clémence. Amélie toisait son père avec des yeux de cocker. Elle s'en était sortie en lui expliquant qu'elles avaient dû se rendre au dernier moment à l'institut médico-légale pour récupérer un brancard et deux trois bricoles en vue d'un exposé. Son père la crût, bien sûr. Si je ne faisais rien, il ne me remarquerait pas. Alors je disparaîtrais certainement pour de bon sans enterrement, sans sépulture comme si je n'avais jamais existé. Cette idée me retourna le cerveau. Il faut qu'il me capte! Avec effroi, je constatai que j'avais beau hurler et remuer de toutes mes forces, rien ne se produisit. Au mieux j'arrivais à pousser un pauvre miaulement à peine plus fort et moins aigu que celui d'un chaton nouveau né. Ceci dit, je sus que les putes m'entendirent car elles se hâtèrent de pousser le brancard hors de porté du vieux. Elles posèrent dessus un énorme et lourd carton rempli d'outils en tout genre. Juste sur ma tête. Cette fois c'est la fin! Je bouillais en tentant de hurler de toute mes forces. Dans ma tête j'étais à trois cents pour cent conscient; J'avais la volonté et l'espoir désespéré d'atteindre les oreilles du père d'Amélie mais tout ce qui sortait de ma bouche n'était que la lamentable plainte d'un cadavre. Mon ex-meilleure amie couvrit sans difficulté ma pitoyable tentative en parlant tout naturellement de la pluie et du beau temps. Elle me faisait penser à une poissonnière pleine de vie, forte et rigoureuse et moi, ben j’étais les abats de poiscaille de la journée dont il fallait se séparer; Dehors, je sentis l'odeur de l'herbe mouillée par la rosée du matin, ça me fit mal.
Il était huit heures et je ne vis pas le soleil se lever pour la dernière fois de ma vie. Clémence, Amélie et son père étaient sortis, sur le parking de l'institut médico-légal.
-Papa, je vais peut-être t'embêter mais...dimanche prochain c'est l'anniv' de Clémence et je voudrais que tu me laisses la maison.
-Dimanche? Mais que vais-je faire moi pendant toute la journée?
-Et bien, tu iras à la messe!
-Ok!- se résigna le père
-Merci p'pa
-Donc c'est ton anniversaire?
-Ouai!
-Bon anniversaire!"
Voilà; horrible non? C'est le pire cauchemar que je n'ai jamais fait et c'est arrivé très récemment. Quand je me suis réveillé j'ai remercié le bon dieu que ce fût un rêve!
Bien à vous.
"J'étais dans un ascenseur avec ma meilleure pôte Clémence et une ex que je n'avais pas vue depuis dix ans : Amélie. On était fatigués mais aussi grisés, par l'alcool et autres drogues qu'on avait consommées. On quittait une mémorable fête et j'étais content de revoir Amélie après toutes ces années. Clémence et elle me chauffaient dans l'ascenseur. J'avoue avoir été particulièrement intéressé par les avances d'Amélie. Deux minutes plus tard, alors qu'elle m'embrassait langoureusement, quelque chose d'aussi inattendu qu'étrange se passa: En deux deux, je me retrouvai attaché à un genre de table verticale, fixée le long d'un poteau lui même muni de roulettes. Le tout ressemblait à un totem voué au culte d'un dieu païen sado-masochiste. Une ceinture de métal me tenait fixé à la table. Clémence et Amélie rigollaient, dansaient, s'apostrophaient gaiement. Une lueur maligne et belle à la fois brûlait dans le regard de Clémence.
-Tu fais moins le malin mon gros mignon!
-Alors, on draguait ma copine ?
-Tu sais ce qu'on va te faire couillon? Te couper les coucougnettes!
Elles éclatèrent de rire en coeur.
La porte de l'ascenseur s'ouvrit sur un couloir et mes deux ravisseuses me déplacèrent verticalement comme si j'étais un meuble. Elles me touchaient, me provoquaient, et se marraient. Moi, attaché à mon totem, je ne comprenais pas tout. Elles se foutent de moi! Sympa la blague!
Finalement, on arriva dans une grande salle, genre morgue et elles me poussèrent au centre sous une grosse lampe comme il y en a dans des salles d'autopsie. Grâce à un levier, elles me mirent en position horizontale. Le meuble devint un billard.
-Alors,- dit Clémence,- comment voudrais tu qu'on t'émascule?
-Moi je pensais à un sécateur, vu la taille du machin!- Dis-je, content de ma vanne.
- T’as raison, une bite, c'est comme une grosse branche!
-Allez!- Dis-je, -arrêtez vos conneries, de toute façon elle sera bien plus molle si vous me la coupez. Si vous m’suciez plutôt (J'étais bourré)
-Ta gueule !
Amélie attrapa ma queue à deux mains.
-« Moi je parie qu'elle restera bien droite!
-Mais non, c'est impossible, -Clémence attrapa à son tour ma bite et la mania sans ménagement, -physiquement impossible «.
Elles m'éxitaient grave. Elles avaient toute les deux leurs mains sur ma bite tout en ayant un débat sur la rigidité de mon membre.
-Tu veux parier!
-Réfléchis, tout le sang (là), se viderait progressivement jusqu'à qu'il n'y en ait plus. Si tu coupes cette bite, elle ressemblera plus à une capote usagée qu'à un godemiché ma chérie!- Elles éclatèrent de rire.
La lumière, la situation, le fait d'être attaché et à la merci de deux jeunes filles armées me plaisait. J'étais sur un petit nuage.- Eh! tu veux m'sucer chérie?-
La vue du sécateur me fit néanmoins tiquer mais rajouta finalement encore un peu plus au fantasme sado-maso. Amélie plaça les deux lames coupantes de part et d'autre de ma bite.- EH! Doucement là!
-T'inquiète! Moi je suis l'assistante, je ne te ferai pas mal!- Elle gratifia le bout de mon gland d'un adorable et langoureux petit bisou.- Clémence, en revanche est ton bourreau. Si mademoiselle veut bien se donner la peine!- Elle avait pris des airs d'hôtesse accueillant une personne très importante.
- Bien naturellement!- Assura Clémence. Elle saisit les deux manches du sécateur à deux mains. Amélie, fit la révérence et recula. Je regardais avec fascination ma queue, belle, droite et gonflée au milieu de ces deux impressionnantes lames, capables de couper net n'importe quelle branche d'arbre avec une facilité déconcertante. Clémence, à l'autre bout du sécateur avait adopté une positon de tenniswoman, qui s'apprête à faire un revers.- Bon! les filles, je dois vous avouer un truc...- Clémence donna soudainement un grand coup et me coupa net mon membre. Je ne ressentis pas spécialement de douleur mais plutôt l'effet que peut produire une chute vertigineuse, comme un grand vol plané après un accident. J'attendais la chute mais elle ne venait pas.
-AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAhH!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Putain les salopes! les salopes! les salopes! les salopes!!!!!
-regarde! J'avais raison, elle est toujours raide!
-Incroyable!
Je ne voulais pas regarder mais je ne pouvais pas m'en empêcher. Amélie tenait mon (ex) bite dans sa main, raide comme un bâton. Clémence n'en revenait pas.
-Par quelle magie!
-HI! HI! HI! HI!
Des flots de sang giclaient par saccades du trou noir laissé par l'amputation. Pour rajouter à la folie de la scène, Amélie cola sa bouche sur la plaie béante et aspira, souffla dedans comme une folle.
-Ha! Mais quelle belle chatte vous avez là mademoiselle!
-Salopes ! salopes ! salopes !
Clémence jouait avec son nouveau gode macabre. Elle me le mettait juste sous le nez puis dans ma bouche.-"Suce!" J'étais à deux doigts de tourner de l'oeil mais la haine que j'éprouvais à l'égard de ces deux putains de sorcières me dopait. -Salopes! Salopes! Vous me le paierez salopes!
-Ta gueule!- Me dirent les deux parfaitement en coeur. ça les fit rigoler. J'avais les yeux inondés de larmes. Mon regard incrédule passait sans cesse de mon moignon à mes deux bourreaux.
- Clémence, pourquoi t'as fait ça, t'étais mon amie!!- Elle me lança un regard noir.
- Tu me laisses pas le choix, je vais te couper la langue, ça t'évitera de dire des conneries espèce de petit con. -Elle avait un air dédaigneux et sa voix était rauque.- Ciseaux!-elle avait hurlé. Cette fille est folle à lier. Amélie s'exécuta et lui passa les ciseaux. Elle était devenue assistante du chirurgien.
-Tiens moi ça- dit Clémence. Amélie tenait ma pauvre langue entre ses doigts. Elle se débattait furieusement si bien qu'elle dut s'y reprendre à trois fois. Je fulminais et les insultais mais je savais que quoi qu'il arrive, je ne m'en sortirai pas. Je voyais dans leurs yeux fous une détermination et un sadisme absolu. J'étais résigné à crever. Le plus rapidement de préférence.
-Là!
-Tiens la bien...
-Et... avec ceci ?
-Merci très chère, ce sera tout !
Ces vieilles sorcières étaient aux anges! Elles chantaient presque!
Et clac ! Ma langue se rétracta par réflexe, si bien que juste un petit bout vola pour atterrir, frétillant, sur ma poitrine.
- *ain ! é'è'eu 'eu a'o'e !!.... 'ain ! (.....) hu'ch !............. 'ain !!
-Au moins on ne comprend plus ce qu'il dit. C'est qu'il était blessant le p'tit con!
J'étais terrorisé, humilié et j'avais en même temps une irrépressible envie de sauter hors de mon billard pour étrangler ces salopes de sorcières. Mais j'étais trop solidement attaché, je ne pouvais à peine bouger la tête et ma bite et ma langue venaient d'être excisées. Il ne pouvait plus rien m'arriver de pire.
-Bon! tu sais ce qu'on va te faire maintenant?- Amélie me chuchotait à l'oreille. Elle me cachait la vue Horrible de mon corps en sang. De toute façon je ne voulais plus rien voir. J'aurai voulu être très loin de cette horrible réalité et de ces deux folles à lier.
-On va t'éclater les coucougnettes,- me chuchota Amélie. Ces mots résonnèrent dans ma tête comme un gong indien. Derrière, Clémence, que je ne voyais pas semblait occupée à fouiller dans une caisse à outils. Elle sembla soudain avoir trouvé ce qu'elle cherchait et eut un rire sadique qui me donna la chair de poule.
-é_cla_ter _ les_cou_cou_gnettes ! .... avec ....Un joli fer à repasser de la marque Eclatkoukou ! Clémence faisait la présentation du produit:
-Fonction vapeur, léger, maniable. -Elle plaça une petite plaque de fer sous mes couilles qui, sans la bite au dessus, ressemblaient à une gorge de dindon. Surtout qu'elles étaient rouges de sang. Clémence eut un geste de bas en haut, comme quand on s'apprête à planter un clou et resta en suspens le bras en l'air, me fixant dans les yeux. Elle me sondait froidement. Je ne parvenais pas à soutenir son regard tant pour moi il était si loin et incompatible avec la Clémence que je connaissais ou croyais connaître. Je me répétais en boucle: "c'est pas vrai, c'est pas vrai, c'est pas vrai, pas vrai,". Je devais faire très pitié car Amélie caressa mon visage et me dit pour me rassurer:" T'inquiète pas mon chou, quand tu les auras plus, tu ne sentiras plus la douleur" Je tentai de lui dire: "pourquoi vous faites ça?" mais ne parvins qu'à dire:" ou'ah ou' hé'ah " Clémence, le bras toujours en l'air commença un décompte
-Dix...neuf...huit..."
Je serrai les dents de toute mes forces. Une idée désespérée naissait en moi. Si je hurlais à m'en pêter les cordes vocales, j'arriverai à détourner la douleur.
-Sept...Six...Cinq...
-aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa...
-Quatre...Trois...Deux,Un...
-C’est pas possible, c’est un cauchemar
-Un et demi.....Un et trois quart.....
-J’arrive pas à croire qu’elle va faire ça,
-10!
-AA...ARGL...AA...GNNNNN..ARGHL...
-Elle abattit son bras d'un coup avec le fer au bout et termina son geste pile sur mes deux couilles. La douleur fut foudroyante, inconcevable. Tout mon corps était pris de tremblements incontrôlables, je toussais, m'étranglais et j'avais le coeur qui dégringolait à mille à l'heure. Je n'arrivais plus du tout à reprendre mon souffle et plus j'essayais, plus je perdais le contrôle. Et ces sales sorcières qui rigollaient de mon sort. Quand la pression commença à redescendre, Amélie m'effleura juste du bout de l'ongle ma blessure et je me remis à gémir, tousser, éructer. Je grognais comme un porc fit remarquer à juste titre Amélie.
-Regarde!-Dit Clémence- Incroyable, elles n'ont pas éclaté!
-Ouaip, par contre elles ont triplé de volume, regarde! Recommence!
-Attend j'ai une meilleure idée.
J'aurai donné mon âme au diable pour mourir dans l'instant. La seule chose qui m'occupait l'esprit, était de trouver un moyen pour signifier à mes bourreaux que je les méprisais. C'était une faible consolation mais ça me permettait d'avoir l'illusion de garder un peu de fierté. J’aurai voulu ne pas crier, ne plus manifester ma douleur. Rien de pire pour un bourreau que de s'apercevoir que ses tortures n'ont pas d'effet sur sa victime. Dans mon raisonnement de feindre l'indifférence à la douleur, je me mis à chanter des chansons paillardes. La scène que nous offrions aurait été classée absurde si il n'y avait pas eu tout ce sang autours de mon corps, ces deux infermières toquées et tout ces petits bouts de moi assaisonnés tout autours. Ma langue mutilée rendait mes bavassements incompréhensibles. J'étais entre la dérision et la mort, si bien que je ne remarquai pas que Clémence avait mis le fer à chauffer à la puissance maximale. Au moment où je compris, un courrant glacial me parcourut l'intérieur des jambes. Elle le magnait comme une arme, faisant sortir à grand jets la vapeur brûlante. Je continuai mon plan désespéré pour qu'au moins ces deux putes ne jouissent plus de me voir souffrir et hurler. Les accords qui sortaient de ma bouche en sang avaient la tonalité et la couleur de l'enfer. On aurait dit un chant satanique interprété par une chèvre en chaleur. Quand Clémence appliqua conciensieusement le fer à repasser chauffé à blanc sur ce qui me restait de testicules, je ne sentis aucune douleur, mais le bruit et l'odeur que produisirent mes couilles en cuisant me surprit tant c'était, comment dire ? « Inattendu » est le mot juste. Quand mes couilles éclatèrent, sous l'effet de la chaleur, je le sentis très lucidement mais j’avais l’impression de voir la scène de l’extérieur. En outre, je chantais sur un ton pathétique No-noman-no-cry. J'étais anormalement très détendu et détaché de mon corps et fus simplement étonné quand je sentis nettement une espèce de relâchement alors que le liquide jaunâtre gicla des deux coquilles vides. J'étais grisé par ces nouvelles sensations inconnues et par la force incroyable que dégageait toute cette sauvagerie. Mon corps était bourré d'endorphine. Je chantais la marseillaise en bavant, les yeux presque retournés en arrière ce qui sembla faire son petit effet sur les deux putes. Elles étaient atterrées que je n'aie ni hurlé, ni pleuré lors du spectaculaire supplice du fer à repasser. Je rigolais même et de bon cœur, sur un ton sinistre et forcé et me rendis compte avec amusement que ma voix était devenue perceptiblement plus aigue que quand j'étais normalement constitué. J'étais gaga. L'impression d'avoir été shooté à mort. Visiblement énervée par mon attitude désinvolte, Amélie me sauta dessus, attrapa ma langue et, d'un coup de ciseaux net et précis, me coupa net ce qui m'en restait. Une vive douleur traversa ma moelle épinière. Je tentai de hurler mais ne réussis qu'a m'étrangler lamentablement. Du sang pissait de ma bouche abondamment. Je m'évanouis.
Un temps que je ne saurai estimer plus tard, je me réveillai avec l' impression qu'un troupeau de vaches m'avait piétiné. Puis tout me revint en tête. Ce n'était pas un rêve. Mon cerveau fonctionnait à cent pour cent . Ca m'étonna. On m'avait recouvert le corps avec un drap blanc. Mon pouls fût il si faible qu'elles me crûssent mort. Je voyais néanmoins des silhouettes qui s'agitaient dans la lumière de l'imposante lampe d'autopsie. Clémence était assise à droite, Amélie était de dos. Quelque chose provoqua en moi un regain de vitalité, d'espoir, il y avait une troisième personne! Malgré mon état cireux, mes sens se mirent en alerte. Je compris que cet homme, quelqu'il fût, constituait ma meilleure chance de me faire découvrir. Non pas que je m'imaginais m'en sortir mais je voulais que ces deux sorcières payent.
-tu aurais du me prévenir que tu venais ce soir- dit l'homme- j'ai bien crû que l'on se faisait cambrioler.
ésolé m'sieur- dit Clémence. Amélie toisait son père avec des yeux de cocker. Elle s'en était sortie en lui expliquant qu'elles avaient dû se rendre au dernier moment à l'institut médico-légale pour récupérer un brancard et deux trois bricoles en vue d'un exposé. Son père la crût, bien sûr. Si je ne faisais rien, il ne me remarquerait pas. Alors je disparaîtrais certainement pour de bon sans enterrement, sans sépulture comme si je n'avais jamais existé. Cette idée me retourna le cerveau. Il faut qu'il me capte! Avec effroi, je constatai que j'avais beau hurler et remuer de toutes mes forces, rien ne se produisit. Au mieux j'arrivais à pousser un pauvre miaulement à peine plus fort et moins aigu que celui d'un chaton nouveau né. Ceci dit, je sus que les putes m'entendirent car elles se hâtèrent de pousser le brancard hors de porté du vieux. Elles posèrent dessus un énorme et lourd carton rempli d'outils en tout genre. Juste sur ma tête. Cette fois c'est la fin! Je bouillais en tentant de hurler de toute mes forces. Dans ma tête j'étais à trois cents pour cent conscient; J'avais la volonté et l'espoir désespéré d'atteindre les oreilles du père d'Amélie mais tout ce qui sortait de ma bouche n'était que la lamentable plainte d'un cadavre. Mon ex-meilleure amie couvrit sans difficulté ma pitoyable tentative en parlant tout naturellement de la pluie et du beau temps. Elle me faisait penser à une poissonnière pleine de vie, forte et rigoureuse et moi, ben j’étais les abats de poiscaille de la journée dont il fallait se séparer; Dehors, je sentis l'odeur de l'herbe mouillée par la rosée du matin, ça me fit mal.
Il était huit heures et je ne vis pas le soleil se lever pour la dernière fois de ma vie. Clémence, Amélie et son père étaient sortis, sur le parking de l'institut médico-légal.
-Papa, je vais peut-être t'embêter mais...dimanche prochain c'est l'anniv' de Clémence et je voudrais que tu me laisses la maison.
-Dimanche? Mais que vais-je faire moi pendant toute la journée?
-Et bien, tu iras à la messe!
-Ok!- se résigna le père
-Merci p'pa
-Donc c'est ton anniversaire?
-Ouai!
-Bon anniversaire!"
Voilà; horrible non? C'est le pire cauchemar que je n'ai jamais fait et c'est arrivé très récemment. Quand je me suis réveillé j'ai remercié le bon dieu que ce fût un rêve!
Bien à vous.
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Message par LFS » 14 déc. 2008 18:36
Bonsoir
Comme c'est votre premier post, je ne sais si vous avez eu des rêves du même type, mais ici, ce qui est clairement posé est l'angoisse de la castration, et au-delà de cette inquiétude, il y a l'angoisse de ne pas pouvoir créer.
Car si le sexe est l'instrument de l'a PRO-création, la langue (qui est coupée elle aussi dans votre scénario) est l'instrument de la création, si l'on suit ce que disent les textes des 3 religions du livre pour ne citer qu'elles (judaïsme, christianisme, islam ), le verbe est créateur.
Bonne soirée LF
PS: Attention toutefois lorsque vous rapportez un rêve, à l'écrit ou à l'oral à ne pas chercher à tout prix à faire du style. C'est sympathique, mais lorsque l'on fait de la littérature, il y a un risque de déformer le scénario initial.
Comme c'est votre premier post, je ne sais si vous avez eu des rêves du même type, mais ici, ce qui est clairement posé est l'angoisse de la castration, et au-delà de cette inquiétude, il y a l'angoisse de ne pas pouvoir créer.
Car si le sexe est l'instrument de l'a PRO-création, la langue (qui est coupée elle aussi dans votre scénario) est l'instrument de la création, si l'on suit ce que disent les textes des 3 religions du livre pour ne citer qu'elles (judaïsme, christianisme, islam ), le verbe est créateur.
Bonne soirée LF
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Louise-Frédérique S. Rendez-vous par téléphone 20mn ou 1h
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Message par cadavre exquis » 14 déc. 2008 22:10
Bonsoir,
merci pour votre réponse qui, je dois l'avouer, est tombée très justement. En effet j'ai un gros problème avec mon processus de création et le fait de ne pas savoir comment engager une oeuvre et comment la poursuivre par la suite m'angoisse énormément. Je me remets sans cesse en question quant à ma capacité de créer et c'est très fatigant.
Pour ce qui est de la peur de la castration, j'ai un petit peu plus de mal à vous suivre. A moins que ce soit au sens figuré, auquel cas, cela voudrait dire que j'aurai peur que l'on m'empèche de me développer. En y réfléchissant je pense que entre ma mère qui est trop protectrice, mon frère qui n'arrête pas de s'affirmer et mes amis que je crois être responsables d'un complot contre moi, il y a matière castratrice.
Je vais réfléchir à tout ça et vous remercie de m'avoir consacré un peu de votre temps.
Bien à vous.
merci pour votre réponse qui, je dois l'avouer, est tombée très justement. En effet j'ai un gros problème avec mon processus de création et le fait de ne pas savoir comment engager une oeuvre et comment la poursuivre par la suite m'angoisse énormément. Je me remets sans cesse en question quant à ma capacité de créer et c'est très fatigant.
Pour ce qui est de la peur de la castration, j'ai un petit peu plus de mal à vous suivre. A moins que ce soit au sens figuré, auquel cas, cela voudrait dire que j'aurai peur que l'on m'empèche de me développer. En y réfléchissant je pense que entre ma mère qui est trop protectrice, mon frère qui n'arrête pas de s'affirmer et mes amis que je crois être responsables d'un complot contre moi, il y a matière castratrice.
Je vais réfléchir à tout ça et vous remercie de m'avoir consacré un peu de votre temps.
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Message par LFS » 14 déc. 2008 23:53
Bonsoir
Une mère trop protectrice est castratrice de fait, car elle refuse que son petit garçon devienne un homme.
Prenez exemple sur votre frère.
Si c'est difficile pour vous, allez faire quelques séances avec psy qui privilégie les techniques psychocorporelles.
A bientôt. LF
Une mère trop protectrice est castratrice de fait, car elle refuse que son petit garçon devienne un homme.
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