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Histoires de famille sur une croisière

Posté : 21 déc. 2008 19:05
par sanddres
Bonjour!
J'espère que vous préparez de bonnes vacances!
Je vous poste une série de trois rêves avant de vous laisser souffler pour les Fêtes! Prenez votre temps pour répondre!

Rêve de jeudi je crois :


Je suis avec mon amie S. à Paris. Elle veut que nous passions devant Notre-Dame car elle ne l'a jamais vu. Nous prenons donc une petite ruelle qui longe le monument. Nous voyons des remparts de pierre, avec des sortes de douves et un petit chemin qui mène vers une cour intérieure style château. Je trouve cela très beau mais S. ne s'arrête pas et je suis déçue.
La scène suivante, j'arrive sur le parvis de Notre Dame. Mon amie AY a remplacé S. Elle joue avec une grosse balle de water polo blanche et assez molle. Elle fait des passes à son petit frère, comme au volley. Je me mêle à eux et tente de rattraper la balle qui me tombe dessus et se déforme un bref moment.

Ensuite, nous sommes dans ce qui me semble d'abord être un train. Nous sommes sur des places à quatre AY, son frère et moi. Nous regardons des livres d'images mais je réalise soudain que mes chevilles nues ne sont pas épilées depuis longtemps. J'ai même des zones de mes chevilles et de mes mollets recouvertes de touffes de poils longs et épais, comme des morceaux de fourrure d'ours. Je suis très mal à l'aise de ce manque de tenue de ma part et je demande à AY si elle l'avait remarqué quand on jouait au water polo. Elle me dit que non, que mes poils étaient moins longs.

A ce moment-là, ma petite cousine vient joyeusement vers moi. Elle voyage dans le même train et m'a vue. Je suis très heureuse de la voir. Elle retourne à sa place. Quelques minutes plus tard, je reconnais la voix de son père qui appelle sa soeur "AE!". Je bondis vers lui, comme si c'était une merveilleuse surprise qu'il soit là, et lui fait la bise. Il est content de me voir mais m'explique qu'il est très occupé avec les enfants et qu'"ils" doivent faire des tas d'allers-retours pour les accompagner, qu'il doit donc prendre congé. Il sort du compartiment.
Comme je l'ai entendu appeler AE, je regarde sur le siège et je la vois. Je suis contente qu'elle se soit réconciliée avec son père. Je lui fais la bise avec un peu d'appréhension mais elle est très distante et me dit avec colère et mépris qu'elle n'a pas du tout apprécié mon email, me demande pour qui je me prends d'écrire des choses comme ça, que si je l'aimais vraiment, je n'en parlerai même pas puisque ce serait évident, que je n'ai pas écrit de telles choses à ses frères et soeurs, ce qui prouve que je suis hypocrite. Elle me dit que quand elle voudra me parler, elle le fera, et ce n'est certainement pas maintenant.

Je retourne donc vers AY et son petit frère et nous regardons nos livres d'images et par la fenêtre. Sur une des cartes qu'elle a devant elle, AY comprend que des terroristes vont attaquer notre paquebot de croisière (le train est désormais identifié comme un bateau) et me dit que nous devons le cacher ou changer son itinéraire. Pour cela, je dois aller dans la salle des machines mais je ne sais ni y accéder, ni faire des manoeuvres avec le bateau. Je sais que ma cousine AE a fait ce type de travail pendant l'été et je vais donc la voir pour lui demander de m'aider. Elle est d'abord agressive mais je me mets en colère en disant que ce n'est pas une histoire entre elle et moi, mais que cela concerne tout le bateau.
Elle m'accompagne donc dans le quartier des machines. Nous traversons un long couloir et une passerelle qui nous emmènent vers le quartier de l'équipage. Des officiers habillés de blanc en train de se livrer à différents loisirs dans leurs quartiers réservés nous demandent ce que nous faisons là mais la présence de AE semble être un laisser-passer, ils nous laissent aller dans les zones interdites au public. Nous ne pensons même pas à leur demander de régler le problème, ils semblent que nous soyons les seules à pouvoir le faire.
Nous entrons dans une sorte de cage d'ascenseur en verre, avec des boutons et des manettes. AE entre en première et la porte se verouille. Un peu après, j'entre à mon tour et nous commençons les manoeuvres nécessaires.
*****

Je suppose que ce rêve rejoint les autres puisque j'ai encore une situation de sauveur?

Je me posais aussi une autre question : il y a des personnes dont je rêve tout le temps : comme AY de ce rêve, ou encore mon frère, une de mes petites cousines (la petite de ce rêve), et d'autres dont je ne rêve jamais... Ya-t-il une raison au choix d'une personne plutôt que d'une autre dans les rêves? Surtout que AY, ici, n'a pas un rôle particulièrement actif... et je ne l'ai pas vue depuis des mois!

Merci!

:-D

Posté : 23 déc. 2008 20:29
par LFS
Bonsoir

Les personnes dont vous rêvez sont des représentations de vous-même sur l'instant, parfois cela se superpose avec des histoires du moment qui se passent dans la vie éveillée.
Retenez que les enfants (petit frère petite cousine, etc) reviennent régulièrement, ils vous invitent à vous pencher encore davantage sur ce qui vous étiez enfant, et la part d'enfance qui reste en vous aujourd'hui.

Dans ce que vous avez écrit, ce sont les chevilles poilues qui sont importantes. Une cheville est une articulation et elles assurent la stabilité. Poilues et ce, pour une femme, elles avertissent d'une déstabilisation ou la confirment.
Dans votre cas, on peut en conclure que vous avez à vous soulager encore de quelques fardeaux familiaux ce qui vous permettra de réajuster vos réactions avec les autres.

Bon Noel :wink:

LF