Hôtel, cochons
Posté : 24 août 2021 04:08
Bonjour LF, cela fait longtemps que je n'ai pas posté de rêves. J'espère que vous avez passé de bonnes vacances. Pour ma part, ce n'était pas vraiment les vacances que j'aurais aimé avoir.
Voici le rêve que j'ai eu aujourd'hui.
Je suis aux côtés de ma famille dans un hôtel sombre, morose, dénué de lumière. On marche dans un couloir à la recherche d'une chambre disponible. Nous sommes au 10eme étage. Après quelques recherches, ma mère trouve une chambre. Elle tire la poignée et voilà un jeune couple nu. Leur chambre est crasseuse et une télé est allumée. Le couple s'excuse et nous dit qu'ils vont se rhabiller et sortir de la pièce. Ma mère reste quelques minutes à les regarder tandis que je me mets à l'écart pour les laisser en intimité. Quelques minutes plus tard, mon père arrive en disant qu'il a trouvé une chambre. La 8835. Ma mère, d'un coup, s'affole "Je ne vais pas au 8eme étage, c'est là où il y a les esprits et les démons". Mon père, confiant, décide d'aller y jeter un œil. Et il prend comme compagnon : Moi.
On prend l'ascenseur pour monter et voilà qu'une grande rivière s'offre à nous ainsi qu'une dizaine de bouées tractées. Des gens y sont installés. On s'installe nous aussi avant de ramer jusqu'à l'autre côté. Arrivée à destination, un groupe de jeunes discutent entre eux. Mon père, rapide et efficace, atteint déjà le bâtiment. Je m'empresse de le suivre lorsque deux jeunes marchent derrière moi et me font un croche-pied. Effrayé par l'ambiguïté de la situation, sur le fait qu'ils soient délinquants ou non, je prends l'initiative d'appeler mon père. En quelques secondes il se retrouve devant eux. Les jeunes s'expliquent en vitesse et à ma grande surprise, ils me proposent de rejoindre leur groupe. L'un d'eux me demande si je veux être promu. Et il me liste les différentes catégories. Puis, l'un d'eux parle comme un enfant le doigt dans la bouche, et lui dit qu'il a oublié la catégorie "amour". Je bégaye avant de leur dire que je ne veux pas faire partie de leur groupe et que je ne souhaite pas être promu non plus.
Puis je rejoins mon père dans une grande salle de réception. Là, les lumières sont présentes. Très chaleureuses et jaune, elles informent à merveille le type de dîner qu'elle emploie : un dîner convivial. Effectivement, plusieurs grandes tables où des plats somptueux que l'on pourrait confondre à un repas de Noël étaient déposés. La première table, elle, en plus des différents plats déjà présents, ne se retena pas à commander des cochons pour dîner. Et voilà que des servants ramène sur leur table deux cochons rose tachetés d'un peu de gris sur les côtés, et dotés de narines en cœur. Tout le monde se mit à les regarder attentivement, surpris de cette scène. Tandis que moi aussi, j'observais cette scène d'un regard rempli de compassion pour ces animaux qui ne cessaient de grogner.
Voici le rêve que j'ai eu aujourd'hui.
Je suis aux côtés de ma famille dans un hôtel sombre, morose, dénué de lumière. On marche dans un couloir à la recherche d'une chambre disponible. Nous sommes au 10eme étage. Après quelques recherches, ma mère trouve une chambre. Elle tire la poignée et voilà un jeune couple nu. Leur chambre est crasseuse et une télé est allumée. Le couple s'excuse et nous dit qu'ils vont se rhabiller et sortir de la pièce. Ma mère reste quelques minutes à les regarder tandis que je me mets à l'écart pour les laisser en intimité. Quelques minutes plus tard, mon père arrive en disant qu'il a trouvé une chambre. La 8835. Ma mère, d'un coup, s'affole "Je ne vais pas au 8eme étage, c'est là où il y a les esprits et les démons". Mon père, confiant, décide d'aller y jeter un œil. Et il prend comme compagnon : Moi.
On prend l'ascenseur pour monter et voilà qu'une grande rivière s'offre à nous ainsi qu'une dizaine de bouées tractées. Des gens y sont installés. On s'installe nous aussi avant de ramer jusqu'à l'autre côté. Arrivée à destination, un groupe de jeunes discutent entre eux. Mon père, rapide et efficace, atteint déjà le bâtiment. Je m'empresse de le suivre lorsque deux jeunes marchent derrière moi et me font un croche-pied. Effrayé par l'ambiguïté de la situation, sur le fait qu'ils soient délinquants ou non, je prends l'initiative d'appeler mon père. En quelques secondes il se retrouve devant eux. Les jeunes s'expliquent en vitesse et à ma grande surprise, ils me proposent de rejoindre leur groupe. L'un d'eux me demande si je veux être promu. Et il me liste les différentes catégories. Puis, l'un d'eux parle comme un enfant le doigt dans la bouche, et lui dit qu'il a oublié la catégorie "amour". Je bégaye avant de leur dire que je ne veux pas faire partie de leur groupe et que je ne souhaite pas être promu non plus.
Puis je rejoins mon père dans une grande salle de réception. Là, les lumières sont présentes. Très chaleureuses et jaune, elles informent à merveille le type de dîner qu'elle emploie : un dîner convivial. Effectivement, plusieurs grandes tables où des plats somptueux que l'on pourrait confondre à un repas de Noël étaient déposés. La première table, elle, en plus des différents plats déjà présents, ne se retena pas à commander des cochons pour dîner. Et voilà que des servants ramène sur leur table deux cochons rose tachetés d'un peu de gris sur les côtés, et dotés de narines en cœur. Tout le monde se mit à les regarder attentivement, surpris de cette scène. Tandis que moi aussi, j'observais cette scène d'un regard rempli de compassion pour ces animaux qui ne cessaient de grogner.