Tombes / séisme / chute / grêlons
Posté : 18 déc. 2022 09:46
Bonjour LF,
J'espère que vous allez bien. Me voici de retour en France et dans le sud.
Je me rappelle enfin d'une série de rêves que j'ai eu cette nuit donc je poste avant d'oublier.
Pour le contexte actuel, rien de transcendant. Le boulot ça va, les entretiens quant à eux ne sont pas concluants, la famille ça va, les amours néant.
Voici les rêves :
1er : je vais visiter la tombe de mon grand-père, laquelle est ombragée, verdoyante, avec un olivier (qui a été planté dans la vie éveillée, sauf qu'en réalité il n'y a que de la terre autour). J'ai une larme qui coule de mon oeil droit et qui commence à couler sur mes joues et s'envole avec le vent.
Puis ma mère me dit que plus loin c'est la tombe de ma grand-mère qui même si elle est vivante, à déjà préparer son futur voyage pour ne pas être un fardeau pour ses enfants. Je vois la tombe, non creusée, juste une plaque de réservation que je sais être pour ma grand-mère qui sera prêt de mon grand-père le moment venu.
2ème : je suis dans un restau en terrasse, en hauteur et il fait beau. Soudain, les tables se mettent à tourner lentement, les horloges aussi, ma chaise tourne sur elle même. Je comprends tout de suite que la terre va trembler. Je dis aux gens de monter la rue qui mène "au chateau" car arrivé en haut il n'y a pas de batiments et potentiellement pas de risque de s'en prendre un sur la tête. Pour ma part, je rentre à mon appartement, et je récupère mon téléphone qui est chargé à 69%, mon tél pro qui est vide et un chargeur nomade rempli à bloc. Je mets une paire de tennis aux pieds car je sais que je vais devoir marcher. Puis mon immeuble commence à vasciller. J'appelle ma mère et lui dis que je l'aime et que je pense qu'on ne se reverra peut-être plus. Je raccroche et je lace bien mes tennis pour ne pas les perdre en route. En même temps que je lace, je sens l'immeuble aller de gauche à droite et de droite à gauche et je me dis qu'il va s'éffondrer et je prie.
Les secousses s'arrêtent et chez moi de la peur mais pas de dégâts. Je sors avec mon sac rempli de mes essentiels sauf que ... obscurité dans laquelle je discerne les contours des ruines de tout ce qui se trouvait autour de mon immeuble. Plus d'électricité rien. Je me dis qu'il vaut mieux retourner chez moi en attendant le lever de jour car chez moi c'est le seul endroit où il y encore de la lumière et ou rien n'a été détruit. Je me réveille en sursaut avec une peur qui m'a empechée de me rendormir.
3ème : je marche et je vois un agent de sécurité avec un chien qui est plus grand que moi, un chien de sécurité aussi. Pour je ne sais quelle raison je chute au sol, je n'ai pas vraiment de douleurs mais c'est comme si je me complaisais dans le fait qu'on fasse attention à moi. Le chien aboie et pousse des cris de pleurs pour avertir son maître que je suis au sol. Ma mère arrive et essaye de me relever sauf que je me mets à pleurer car je sens quand même une douleur du côté droit de mes côtes. Je sais qu'elles ne sont ni fêlées, ni cassées, peut-être juste froissées. En même temps que mes larmes coulent et pour je ne sais quelle raison, je mange une orange qui est vraiment bonne. Je dis à ma mère de ne pas me toucher car dans ma pensée, je préfère que l'agent de sécurité, dont le chien est resté à mes côtés, vienne m'aider et je ne souhaite plus que ce soit ma mère.
La douleur est franchement supportable mais j'attends et l'agent de sécurité fini par arriver.
4ème : c'est flou mais ce dont je me rappelle c'est que je suis avec une amie avec laquelle nous communiquons moins qu'avant dans la vie éveillée. Soudain des grêlons translucides ovales et plats tombent. Rien ne me tombe dessus mais je me dis que c'est impressionnant. Puis c'est au tour de la pluie plutôt abondante mais pas diluvienne non plus. Et quand je décide d'avancer je vois que mon amie marche sous la pluie et que des que j'avance, la pluie s'éloigne pour me laisser marcher au sec. Mon amie se retourne et me dis "pourquoi tu marches un peu loin de moi" (moins de 2mètres) et je lui réponds "regarde, il y a une frontière au sol entre toi et moi, toi tu marches sous la pluie alors que moi j'arrive à marcher là ou la pluie ne tombe plus. T'as vu, c'est fou comme en un même endroit les conditions météo ne sont pas les mêmes pour tout le monde". De mon côté, les nuages se dissipent et pas du sien.
Merci par avance et bon dimanche, je vous appelle durant mes vacances afin de programmer notre sortie PROMIS PROMIS
J'espère que vous allez bien. Me voici de retour en France et dans le sud.
Je me rappelle enfin d'une série de rêves que j'ai eu cette nuit donc je poste avant d'oublier.
Pour le contexte actuel, rien de transcendant. Le boulot ça va, les entretiens quant à eux ne sont pas concluants, la famille ça va, les amours néant.
Voici les rêves :
1er : je vais visiter la tombe de mon grand-père, laquelle est ombragée, verdoyante, avec un olivier (qui a été planté dans la vie éveillée, sauf qu'en réalité il n'y a que de la terre autour). J'ai une larme qui coule de mon oeil droit et qui commence à couler sur mes joues et s'envole avec le vent.
Puis ma mère me dit que plus loin c'est la tombe de ma grand-mère qui même si elle est vivante, à déjà préparer son futur voyage pour ne pas être un fardeau pour ses enfants. Je vois la tombe, non creusée, juste une plaque de réservation que je sais être pour ma grand-mère qui sera prêt de mon grand-père le moment venu.
2ème : je suis dans un restau en terrasse, en hauteur et il fait beau. Soudain, les tables se mettent à tourner lentement, les horloges aussi, ma chaise tourne sur elle même. Je comprends tout de suite que la terre va trembler. Je dis aux gens de monter la rue qui mène "au chateau" car arrivé en haut il n'y a pas de batiments et potentiellement pas de risque de s'en prendre un sur la tête. Pour ma part, je rentre à mon appartement, et je récupère mon téléphone qui est chargé à 69%, mon tél pro qui est vide et un chargeur nomade rempli à bloc. Je mets une paire de tennis aux pieds car je sais que je vais devoir marcher. Puis mon immeuble commence à vasciller. J'appelle ma mère et lui dis que je l'aime et que je pense qu'on ne se reverra peut-être plus. Je raccroche et je lace bien mes tennis pour ne pas les perdre en route. En même temps que je lace, je sens l'immeuble aller de gauche à droite et de droite à gauche et je me dis qu'il va s'éffondrer et je prie.
Les secousses s'arrêtent et chez moi de la peur mais pas de dégâts. Je sors avec mon sac rempli de mes essentiels sauf que ... obscurité dans laquelle je discerne les contours des ruines de tout ce qui se trouvait autour de mon immeuble. Plus d'électricité rien. Je me dis qu'il vaut mieux retourner chez moi en attendant le lever de jour car chez moi c'est le seul endroit où il y encore de la lumière et ou rien n'a été détruit. Je me réveille en sursaut avec une peur qui m'a empechée de me rendormir.
3ème : je marche et je vois un agent de sécurité avec un chien qui est plus grand que moi, un chien de sécurité aussi. Pour je ne sais quelle raison je chute au sol, je n'ai pas vraiment de douleurs mais c'est comme si je me complaisais dans le fait qu'on fasse attention à moi. Le chien aboie et pousse des cris de pleurs pour avertir son maître que je suis au sol. Ma mère arrive et essaye de me relever sauf que je me mets à pleurer car je sens quand même une douleur du côté droit de mes côtes. Je sais qu'elles ne sont ni fêlées, ni cassées, peut-être juste froissées. En même temps que mes larmes coulent et pour je ne sais quelle raison, je mange une orange qui est vraiment bonne. Je dis à ma mère de ne pas me toucher car dans ma pensée, je préfère que l'agent de sécurité, dont le chien est resté à mes côtés, vienne m'aider et je ne souhaite plus que ce soit ma mère.
La douleur est franchement supportable mais j'attends et l'agent de sécurité fini par arriver.
4ème : c'est flou mais ce dont je me rappelle c'est que je suis avec une amie avec laquelle nous communiquons moins qu'avant dans la vie éveillée. Soudain des grêlons translucides ovales et plats tombent. Rien ne me tombe dessus mais je me dis que c'est impressionnant. Puis c'est au tour de la pluie plutôt abondante mais pas diluvienne non plus. Et quand je décide d'avancer je vois que mon amie marche sous la pluie et que des que j'avance, la pluie s'éloigne pour me laisser marcher au sec. Mon amie se retourne et me dis "pourquoi tu marches un peu loin de moi" (moins de 2mètres) et je lui réponds "regarde, il y a une frontière au sol entre toi et moi, toi tu marches sous la pluie alors que moi j'arrive à marcher là ou la pluie ne tombe plus. T'as vu, c'est fou comme en un même endroit les conditions météo ne sont pas les mêmes pour tout le monde". De mon côté, les nuages se dissipent et pas du sien.
Merci par avance et bon dimanche, je vous appelle durant mes vacances afin de programmer notre sortie PROMIS PROMIS