Les deux crocodiles
Posté : 25 mars 2020 16:26
Bonjour,
J'ai le droit à trois rêves c'est ça hein?
J'ai fais ce rêve ce matin avant de me réveiller. J'en ai fait des plus forts pour moi ses derniers temps mais je veux privilégier l'actualité.
Je suis au États-Unis. Je fais parti d’un groupe qui visite un palace style bâtiment officiel de la côte Est du 18eme siècle. Nous avons un guide, c’est le youtubeur de la chaîne « le fossoyeur de film » (chaîne d’analyse de films de cinéma).
Il nous dit que la beauté de ce bâtiment vient, entre autre, de sa symétrie. J’essaye alors de lui faire remarquer que le lierre qui grimpe sur une partie de sa façade gauche (à droite pour nous car nous lui faisons face) donne du charme à l’ensemble par l’asymétrie qu’il crée. Il élude ma remarque car elle ne semble pas l’arranger. Depuis le début nous sommes dans la cour de l’entrée qui est aussi un jardin relativement spacieux fait de gazon entretenu, d’arbres et d’une allée principale circulaire. Tout cela est maîtrisé. Notre guide nous fait remarquer qu’il n’y a que deux petits bancs en pierre (cours, sans dossier ni accoudoir) dans ce jardin, qui vu sa dimension, sa disposition et son usage devrait en contenir plus pour des raisons évidentes d’esthétisme et de praticité. Ces deux bancs sont simples et élégants. Il s’accordent parfaitement à leur environnement. Il nous explique qu’avant il y avait plus de bancs mais que pour des raisons pas claires de publicité il me semble, la société propriétaire de ses autres bancs les a retiré. Je vois alors grâce à la magie du rêve à quoi ressemblaient ces bancs. Ce sont des bancs à gondole vert de Gabriel Davioud (j’ai cherché du coup ) que l’on trouve dans les parcs et jardins Parisien (la ville où j’habite). Leur vert franc et leur esthétique plus grossière (paradoxalement) que les bancs en pierres ne sied pas à l’ambiance prestigieuse du lieu. Je ne sent donc pas ça comme une réelle perte mais je regrette tout de même qu’il manque des bancs ici.
J’interroge notre guide sur l’histoire de celui qui a fait construire ce bâtiment et là il nous montre au sommet d’une démesurément haute colonne une énorme tête (pitié ne me dites pas que j’ai la grosse tête ahah). Il nous dit que c’est la tête de la femme de cet homme (cela semble être un hommage de sa part).
Ensuite je me retrouve à l’intérieur du bâtiment. Il y a une fête qui fait elle aussi dans la démesure. Elle contraste totalement avec la maîtrise de l’extérieure. Ici c’est déchaîné et amoral. Il y a beaucoup de gens. Il y a de l’alcool. Et surtout il y a une grande partie inondée sciemment où beaucoup de personnes s’amusent et encouragent un jeu du type jeu du cirque de la Rome antique.
Il s’agit de deux crocodiles (vert) muselés par une sorte de toile d’araignée épaisse. On a attaché devant chacune de leurs gueules deux enfants (garçon). Un directement collé à la gueule et l’autre plus éloigné car au bout d’un large bâton de bois. Ce jeu comme cette fête me semble alors décadent. Il est évidemment cruel pour les enfants mais aussi pour les crocodiles asservis, mit en appétit sans pouvoir satisfaire leur envie. Cela est illustré par le fait que je vois à travers les yeux d’un des crocodiles qui ne pouvant pas attraper l’enfant collé à sa gueule trompe/accentue sa frustration en léchant sa nourriture promise (il peut sortir sa langue de sa bouche à peine ouverte).
Me revoilà avec le youtubeur du début dans un pièce où l’on visionne en groupe des films.
Ce sont des films de science fiction je crois (j’aime beaucoup ce genre). En tout cas il y a plusieurs films et tous leurs enjeux sont angoissants. Parfois je suis dans le film, parfois je suis spectateur, en tout cas on change souvent de film (du fait de désaccords je crois). On dirait le délire d’une mauvaise fièvre.
Je ne me souvient pas bien à partir de là. Je sais juste qu’à la fin de mon rêve je vois mon arrière-grand-mère seule, malgré le fait qu’il y ait d’autres gens, dans une pièce plutôt sombre, assise qui attend tristement (dans la « vraie » vie elle est vivante avec un Alzheimer très avancé, habite en maison de retraite, son mari est mort il y a trois mois et je n’ai pas été la voir depuis).
Bon mercredi ensoleillé
J'ai le droit à trois rêves c'est ça hein?
J'ai fais ce rêve ce matin avant de me réveiller. J'en ai fait des plus forts pour moi ses derniers temps mais je veux privilégier l'actualité.
Je suis au États-Unis. Je fais parti d’un groupe qui visite un palace style bâtiment officiel de la côte Est du 18eme siècle. Nous avons un guide, c’est le youtubeur de la chaîne « le fossoyeur de film » (chaîne d’analyse de films de cinéma).
Il nous dit que la beauté de ce bâtiment vient, entre autre, de sa symétrie. J’essaye alors de lui faire remarquer que le lierre qui grimpe sur une partie de sa façade gauche (à droite pour nous car nous lui faisons face) donne du charme à l’ensemble par l’asymétrie qu’il crée. Il élude ma remarque car elle ne semble pas l’arranger. Depuis le début nous sommes dans la cour de l’entrée qui est aussi un jardin relativement spacieux fait de gazon entretenu, d’arbres et d’une allée principale circulaire. Tout cela est maîtrisé. Notre guide nous fait remarquer qu’il n’y a que deux petits bancs en pierre (cours, sans dossier ni accoudoir) dans ce jardin, qui vu sa dimension, sa disposition et son usage devrait en contenir plus pour des raisons évidentes d’esthétisme et de praticité. Ces deux bancs sont simples et élégants. Il s’accordent parfaitement à leur environnement. Il nous explique qu’avant il y avait plus de bancs mais que pour des raisons pas claires de publicité il me semble, la société propriétaire de ses autres bancs les a retiré. Je vois alors grâce à la magie du rêve à quoi ressemblaient ces bancs. Ce sont des bancs à gondole vert de Gabriel Davioud (j’ai cherché du coup ) que l’on trouve dans les parcs et jardins Parisien (la ville où j’habite). Leur vert franc et leur esthétique plus grossière (paradoxalement) que les bancs en pierres ne sied pas à l’ambiance prestigieuse du lieu. Je ne sent donc pas ça comme une réelle perte mais je regrette tout de même qu’il manque des bancs ici.
J’interroge notre guide sur l’histoire de celui qui a fait construire ce bâtiment et là il nous montre au sommet d’une démesurément haute colonne une énorme tête (pitié ne me dites pas que j’ai la grosse tête ahah). Il nous dit que c’est la tête de la femme de cet homme (cela semble être un hommage de sa part).
Ensuite je me retrouve à l’intérieur du bâtiment. Il y a une fête qui fait elle aussi dans la démesure. Elle contraste totalement avec la maîtrise de l’extérieure. Ici c’est déchaîné et amoral. Il y a beaucoup de gens. Il y a de l’alcool. Et surtout il y a une grande partie inondée sciemment où beaucoup de personnes s’amusent et encouragent un jeu du type jeu du cirque de la Rome antique.
Il s’agit de deux crocodiles (vert) muselés par une sorte de toile d’araignée épaisse. On a attaché devant chacune de leurs gueules deux enfants (garçon). Un directement collé à la gueule et l’autre plus éloigné car au bout d’un large bâton de bois. Ce jeu comme cette fête me semble alors décadent. Il est évidemment cruel pour les enfants mais aussi pour les crocodiles asservis, mit en appétit sans pouvoir satisfaire leur envie. Cela est illustré par le fait que je vois à travers les yeux d’un des crocodiles qui ne pouvant pas attraper l’enfant collé à sa gueule trompe/accentue sa frustration en léchant sa nourriture promise (il peut sortir sa langue de sa bouche à peine ouverte).
Me revoilà avec le youtubeur du début dans un pièce où l’on visionne en groupe des films.
Ce sont des films de science fiction je crois (j’aime beaucoup ce genre). En tout cas il y a plusieurs films et tous leurs enjeux sont angoissants. Parfois je suis dans le film, parfois je suis spectateur, en tout cas on change souvent de film (du fait de désaccords je crois). On dirait le délire d’une mauvaise fièvre.
Je ne me souvient pas bien à partir de là. Je sais juste qu’à la fin de mon rêve je vois mon arrière-grand-mère seule, malgré le fait qu’il y ait d’autres gens, dans une pièce plutôt sombre, assise qui attend tristement (dans la « vraie » vie elle est vivante avec un Alzheimer très avancé, habite en maison de retraite, son mari est mort il y a trois mois et je n’ai pas été la voir depuis).
Bon mercredi ensoleillé