Rêve Harry Potter, Spores géants
Posté : 20 août 2016 22:33
Bonjour, bonsoir, j'espère que tout le monde va bien puisque je vais partager l'un de mes rêves que j'avais noté dans mon recueil de rêves que j'essaye de tenir à jour régulièrement.
Tout à commencé quand j'étais à l'angle de la rue d'Endoume et du boulevard Bompard, en bas de chez moi, à attendre le bus numéros 61 ou 80 pour qu'il m'emmène en ville. Je me souviens avoir pris le bus 80 dans le sens inverse de ce que j'aurais dû et je m'en suis apercercu qu'une fois dedans, réalisant cela, je me retourne et je vît par la vitre arrière du bus, le bus numéros 61 qui allait dans la direction que j'aurais dû prendre, je me dis donc que c'est le 80 qui passera en premier avant le prochain 61 dans le sens que je veux, je descend un arrêt plus loin et prend le 80 qui venait juste d'arriver, je courru un peu pour atteindre le bus qui attendait les derniers arrivants, et là je vois un ancien collègue à moi du collège, un certain Thomas L, qui me sourit et qui me demanda de ne pas monter à l'arrière mais à l'avant. Je monta donc à l'avant du bus et à ce moment là il prononça un mot incompréhensible, je ne sais même pas si il m'était destiné, en me tournant le dos et d'un air assez froid. J'ai ensuite réalisé que le chauffeur était un certain Thomas S (oui on est envahi par ces gens là !!!) qui était un collègue à moi depuis la primaire, les deux Thomas se mirent alors à discuter ensemble. Arrivé sur le vieux port (c'est tout près du centre ville) je ne sais pas ce qu'il s'est passé mais Thomas S décida d'envoyer le bus dans une bouche de métro, après un petit vol plané, le bus était donc dans une station de métro assez mal éclairée, avec de l'eau noire secouée d'un violent courant à l'endroit où devait se trouver les rails du métro. Sur l'eau il y avait des débris avec des gens debout dessus qui se jetaient des sorts avec leur baguette en étant emportés par l'eau. A ce moment je me retourne vers mes deux amis et je leur demande qu'est ce qu'il leur a prit, Thomas S se retourna vers moi à travers la vitre qui séparait le chauffeur et les passagers et pointa vers moi sa baguette en bois blanc en disant qu'il allait me jeter un sort. Je n'étais pas prit de panique du tout et je lui arracha sa baguette des main avec ma main gauche. Décontenancé mais pas pour autant incapable de réagir, il prit lui même la baguette de Thomas L toujours présent dans le bus, et me menaça encore, je lui prit la baguette de la main droite cette fois, et il ne sût quoi faire. C'est Thomas L qui réagit, en me reprenant sa baguette des mains et commença à me menacer à son tour. Il en vînt à se décider, et me lança un sortilège d'expeliarmus alors que nous nous tenions qu'à un ou deux mètres l'un de l'autre seulement, et je fît de même, et là un rayon d'une couleur noire mêlée à du rouge brillant et de temps en temps du gris, apparut entre nos baguette, on pouvait voir cependant où les deux sortilèges se rencontraient, au début il me domina et je dois avouer que je ne suis pas passé très loin de la défaite, mais grâce à ma détermination et ma force mentale ( je suppose, parce que je me souviens avoir forcé ^^' ) mon rayon se mit à grandir et le sien rétrécir. Je vint entièrement à bout de son sortilège mais l'effet s'annula et mon sort n'eut aucune conséquence sur lui. Quelques secondes plus tard à peine, il me relança le même sortilège d'expeliarmus, mais cette fois, j'eut recours au sortilège Protego pour parer le sort, mais encore une fois cela ne semblait pas avoir eut d'effet sur lui donc je prit l'initiative et lança un sort d'expéliarmus, il fît de même et nous nous retrouvèrent encore dans la même situation des deux rayons unissant nos baguettes. Il domina d'un premier temps, mais je parvint à regagner du terrain une fois de plus, mais cette fois, au lieu d'annuler les effets des deux sortilèges, le bout de sa baguette parti en cendre. Complètement fou de rage, mes deux "collègues", m'annoncèrent avec un rire diabolique qu'ils allaient faire subir à tout le monde le fameux sortilège qu'ils avaient apprit en cours, puis ils sortirent du bus et je les revît plus jamais. Je savait qu'ils faisaient allusions à un sortilège de flammes vertes, qui ne brûlait pas seulement la chair. Pas très sûr de moi, je sorti du métro et vit la cannebière remplit de gens, comme pour une manifestation. Mais quelque chose n'allait pas, je marcha alors un peu pour retrouver le chemin vers chez moi, réalisant au passage que j'avais toujours les deux baguettes supplémentaire et quatre briquets jaune dans les poches. J'arriva dans une rue bien plus rempli de gens qui se battaient contre des sortes de spores de plusieurs mètres de large. Il n'y avait ni vent ni humidité dans l'air, et le ciel était orangé. Prit de panique je me mit à courir vers le fond de cette rue en bousculant mainte personnes, je me rappelle avoir croisé deux fois, et avec deux tenues différente, la première étant un costume gris, et la deuxième un costume gris à rayure blanche verticale, Adrian Pasdar, l'acteur de Nathan Petreli dans la série Heroes. Une fois au bout de la rue, les spores était plus gros et plus agressifs, d'une couleur orange, et volant dans ciel, ils attaquaient tout ceux qui s'approchait. A ce moment là j'ai réalisé que la baguette blanche de Thomas S était mal vissé et que des certaines parties de la baguette avait du jeu sur l'axe intérieur. Je vit alors au fin fond de la rue, une double porte qui donnait sur un ascenseur, et sur sa droite un préau, avec au sol une sorte de matelas gonflable blanc fait de matière organique. Ne m'occupant pas de ça j'essayait de réfléchir à un moyen de me débarrasser des spore géants. Je vît alors une sorte de petit spore qui se colla sur un gros, puis gonfla pour le faire exploser et il se dégonfla à nouveau pour trouver une nouvelle cible. Je le vit faire cela quelques fois mais une femme arriva avec un chien fait de chair et d'os posé par dessus, elle s'approcha du petit spore et lâcha le chien dessus qui lui creva toutes ses poches d'air. Le spore retomba par terre, mort, entre la femme et moi, et je ne sût pour quelle raison je fît le mort en priant intérieurement pour que le chien ne me sente pas.
J'ai écrit ce rêve à mon réveil au matin, puis je l'ai édité et corrigé pour qu'il soit plus lisible et sans fautes d'orthographe plus tard dans la journée, j'ai noté absolument tout ce dont je me souvenais, j'espère qu'il ne sera pas trop long et qu'il vous aura plu, n'hésitez pas à me faire savoir vos réactions.
Tout à commencé quand j'étais à l'angle de la rue d'Endoume et du boulevard Bompard, en bas de chez moi, à attendre le bus numéros 61 ou 80 pour qu'il m'emmène en ville. Je me souviens avoir pris le bus 80 dans le sens inverse de ce que j'aurais dû et je m'en suis apercercu qu'une fois dedans, réalisant cela, je me retourne et je vît par la vitre arrière du bus, le bus numéros 61 qui allait dans la direction que j'aurais dû prendre, je me dis donc que c'est le 80 qui passera en premier avant le prochain 61 dans le sens que je veux, je descend un arrêt plus loin et prend le 80 qui venait juste d'arriver, je courru un peu pour atteindre le bus qui attendait les derniers arrivants, et là je vois un ancien collègue à moi du collège, un certain Thomas L, qui me sourit et qui me demanda de ne pas monter à l'arrière mais à l'avant. Je monta donc à l'avant du bus et à ce moment là il prononça un mot incompréhensible, je ne sais même pas si il m'était destiné, en me tournant le dos et d'un air assez froid. J'ai ensuite réalisé que le chauffeur était un certain Thomas S (oui on est envahi par ces gens là !!!) qui était un collègue à moi depuis la primaire, les deux Thomas se mirent alors à discuter ensemble. Arrivé sur le vieux port (c'est tout près du centre ville) je ne sais pas ce qu'il s'est passé mais Thomas S décida d'envoyer le bus dans une bouche de métro, après un petit vol plané, le bus était donc dans une station de métro assez mal éclairée, avec de l'eau noire secouée d'un violent courant à l'endroit où devait se trouver les rails du métro. Sur l'eau il y avait des débris avec des gens debout dessus qui se jetaient des sorts avec leur baguette en étant emportés par l'eau. A ce moment je me retourne vers mes deux amis et je leur demande qu'est ce qu'il leur a prit, Thomas S se retourna vers moi à travers la vitre qui séparait le chauffeur et les passagers et pointa vers moi sa baguette en bois blanc en disant qu'il allait me jeter un sort. Je n'étais pas prit de panique du tout et je lui arracha sa baguette des main avec ma main gauche. Décontenancé mais pas pour autant incapable de réagir, il prit lui même la baguette de Thomas L toujours présent dans le bus, et me menaça encore, je lui prit la baguette de la main droite cette fois, et il ne sût quoi faire. C'est Thomas L qui réagit, en me reprenant sa baguette des mains et commença à me menacer à son tour. Il en vînt à se décider, et me lança un sortilège d'expeliarmus alors que nous nous tenions qu'à un ou deux mètres l'un de l'autre seulement, et je fît de même, et là un rayon d'une couleur noire mêlée à du rouge brillant et de temps en temps du gris, apparut entre nos baguette, on pouvait voir cependant où les deux sortilèges se rencontraient, au début il me domina et je dois avouer que je ne suis pas passé très loin de la défaite, mais grâce à ma détermination et ma force mentale ( je suppose, parce que je me souviens avoir forcé ^^' ) mon rayon se mit à grandir et le sien rétrécir. Je vint entièrement à bout de son sortilège mais l'effet s'annula et mon sort n'eut aucune conséquence sur lui. Quelques secondes plus tard à peine, il me relança le même sortilège d'expeliarmus, mais cette fois, j'eut recours au sortilège Protego pour parer le sort, mais encore une fois cela ne semblait pas avoir eut d'effet sur lui donc je prit l'initiative et lança un sort d'expéliarmus, il fît de même et nous nous retrouvèrent encore dans la même situation des deux rayons unissant nos baguettes. Il domina d'un premier temps, mais je parvint à regagner du terrain une fois de plus, mais cette fois, au lieu d'annuler les effets des deux sortilèges, le bout de sa baguette parti en cendre. Complètement fou de rage, mes deux "collègues", m'annoncèrent avec un rire diabolique qu'ils allaient faire subir à tout le monde le fameux sortilège qu'ils avaient apprit en cours, puis ils sortirent du bus et je les revît plus jamais. Je savait qu'ils faisaient allusions à un sortilège de flammes vertes, qui ne brûlait pas seulement la chair. Pas très sûr de moi, je sorti du métro et vit la cannebière remplit de gens, comme pour une manifestation. Mais quelque chose n'allait pas, je marcha alors un peu pour retrouver le chemin vers chez moi, réalisant au passage que j'avais toujours les deux baguettes supplémentaire et quatre briquets jaune dans les poches. J'arriva dans une rue bien plus rempli de gens qui se battaient contre des sortes de spores de plusieurs mètres de large. Il n'y avait ni vent ni humidité dans l'air, et le ciel était orangé. Prit de panique je me mit à courir vers le fond de cette rue en bousculant mainte personnes, je me rappelle avoir croisé deux fois, et avec deux tenues différente, la première étant un costume gris, et la deuxième un costume gris à rayure blanche verticale, Adrian Pasdar, l'acteur de Nathan Petreli dans la série Heroes. Une fois au bout de la rue, les spores était plus gros et plus agressifs, d'une couleur orange, et volant dans ciel, ils attaquaient tout ceux qui s'approchait. A ce moment là j'ai réalisé que la baguette blanche de Thomas S était mal vissé et que des certaines parties de la baguette avait du jeu sur l'axe intérieur. Je vit alors au fin fond de la rue, une double porte qui donnait sur un ascenseur, et sur sa droite un préau, avec au sol une sorte de matelas gonflable blanc fait de matière organique. Ne m'occupant pas de ça j'essayait de réfléchir à un moyen de me débarrasser des spore géants. Je vît alors une sorte de petit spore qui se colla sur un gros, puis gonfla pour le faire exploser et il se dégonfla à nouveau pour trouver une nouvelle cible. Je le vit faire cela quelques fois mais une femme arriva avec un chien fait de chair et d'os posé par dessus, elle s'approcha du petit spore et lâcha le chien dessus qui lui creva toutes ses poches d'air. Le spore retomba par terre, mort, entre la femme et moi, et je ne sût pour quelle raison je fît le mort en priant intérieurement pour que le chien ne me sente pas.
J'ai écrit ce rêve à mon réveil au matin, puis je l'ai édité et corrigé pour qu'il soit plus lisible et sans fautes d'orthographe plus tard dans la journée, j'ai noté absolument tout ce dont je me souvenais, j'espère qu'il ne sera pas trop long et qu'il vous aura plu, n'hésitez pas à me faire savoir vos réactions.
Et pour votre question, d'une certaine manière oui, je meurt d'envie d'avoir des réponses à toute les questions qui me viennent à l'esprit quand je réfléchie sur ce qui m'entoure, comme l'espace, les religions, l'histoire de la Terre, etc ...